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Category Archives: Les villes d’Israel

Pour votre Alya vous avez prévu de déménager à Pedouel ?

Vous êtes citoyen de retour et vous prévoyez votre déménagement pour Pedouel ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement à Pedouel se déroule de la meilleure façon possible.

Pedouel village communautaire situé à 44 km de Tel Aviv et 60 km de Jérusalem dans les montagnes du sud-ouest de la Samarie, fait partie du Conseil Régional de Shomron. A proximité du Yishouv, sur la route 446, on trouve les localités de Alei Zahav, Leshem et Bruchin.

Histoire de Pedouel

Pedouel a été fondé en 1984 par un groupe d’étudiants de la Yeshiva d’Alon Shvout. Aujourd’hui 290 familles vivent dans le yishouv.

L’origine du nom de la localité se trouve dans le verset 11 du Chapitre 51 du Livre d’Isaïe.

וּפְדוּיֵי יְהוָה יְשׁוּבוּן, וּבָאוּ צִיּוֹן בְּרִנָּה, וְשִׂמְחַת עוֹלָם, עַל-רֹאשָׁם; שָׂשׂוֹן וְשִׂמְחָה יַשִּׂיגוּן, נָסוּ יָגוֹן וַאֲנָחָה.

«Oui, les rachetés du Seigneur reviendront; ils rentreront à Sion avec des chants de triomphe, une joie perpétuelle couronnant leur tête. Joie et allégresse seront leur partage, adieu douleur et soupirs!»

Les institutions communautaires de Pedouel

On trouve à Pedouel une bibliothèque, l’école de préparation militaire «Hossen», la Yeshiva  «Erets Hatsvi» dans laquelle l’accent est mis sur l’étude des écrits de Rabbi Yehuda Ashlag, Rabbi Baruch Ashlag et le Rav Kook.

Deux synagogues fonctionnent à Pedouel : Ohel Rivka installée dans le quartier de Merom, et Maor Yossef située dans le quartier de Shalem.

L’éducation à Pedouel

Une école primaire est installée dans le Yishouv ainsi que des jardins d’enfants et des crèches.

Les quartiers de Pedouel

Marom anciennement nommé «colline 409» car son élévation est de 409 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Shalem, appelé auparavant quartier Amana.

Les rues de Pedouel portent les différents noms de Jérusalem : Sion, Halevanon, Har Hamor, Yefé Nof etc.

D’autres quartiers sont en construction : Kidmat Guilad, Yefé Nof, Médouraguei Amana et Ariel.

Sites touristiques à proximité de Pedouel :

La réserve naturelle Shilo parcourue de nombreux sentiers balisés.

Dir Semaan : Site archéologique de l’époque du Premier Temple où on peut voir les vestiges d’un pressoir. Selon la Mishna, l’huile d’olive provenant de la région très réputée, était livrée directement au Temple de Jérusalem.

Le «Balcon d’Israël» ce nom a été donné par Ariel Sharon. A partir de ce point de vue  on peut voir la  totalité de la plaine côtière, de Haïfa à Ashkelon.

L’emploi à Pedouel.

La majorité des habitants de Pedouel travaillent hors du Yishouv.

Soit à Jérusalem où l’emploi est centré sur le tourisme et les entreprises publiques. Jérusalem est à la pointe dans plusieurs domaines comme que la médecine, le tourisme, la biotechnologie et le high-tech. Parmi les principales productions de Jérusalem : fabriques de chaussures, textiles, pharmaceutiques, produit de métaux, et articles imprimés. Les usines sont situées principalement dans la zone industrielle d’Atarot au Nord de la ville.

Soit dans le Goush Dan, composé des villes de Ness Ziona, Ramat Gan, Bat Yam et Rehovot, Tel Aviv, Givatayim, Bnei Brak, Or Yehuda, Kiryat Ono, Petah Tikva, Yehud, Ramla, Lod, Rishon LeZion, est qui constitue le centre économique du pays et l’une des plus fortes concentrations de start-up au monde, ce qui permet aux habitants de Pedouel de trouver un emploi dans les nombreuses entreprises qui y sont implantées.

Pour votre Alya vous avez prévu de déménager en Judée-Samarie?

Vous êtes citoyen de retour et vous prévoyez votre déménagement pour la Judée-Samarie?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement en Judée Samarie se déroule de la meilleure façon possible.

La Judée-Samarie dans la Bible

La Bible relate que c’est dans cette région que le peuple juif a été fondé : Sur ces lieux, les patriarches construisirent des autels, consacrant ainsi le pays à l’Eternel, qui le leur avait promis. Abraham planta sa tente à Eilon Moré près de Chehem (Naplouse), le sacrifice de Isaac s’est déroulé sur le Mont du Temple (Jérusalem), Jacob résida à Bet El (près de Ramalla), Jéricho et les montagnes de Judée-Samarie sont les premières régions conquises par Josué. David était roi de Hébron avant même que la royauté passe à Jérusalem.
Tombeau des PatriarchesSichem, Béthel et Hébron resteront des lieux saints juifs jusqu’à la conquête de Jérusalem par David. Durant toute la période des Juges, le tabernacle sera dressé à Shilo au cœur des montagnes de Benjamin. Jusqu’en 722, un sanctuaire se dressera à Béthel. Un peu plus au nord, on peut encore voir les ruines de Sébastia, la ville de Samarie dont Omri fit la capitale du Royaume du Nord.
Ces territoires sont le berceau du peuple juif, le cœur de la terre promise aux patriarches. De nombreux vestiges archéologiques témoignent, sans l’ombre d’un doute, de la présence juive dans toute cette région.

 

Histoire moderne de la Judée-Samarie

De 1917 à 1948, ces territoires faisaient partie du Mandat Britannique et donc de la Palestine mandataire, sur l’ensemble de laquelle, devait s’établir le Foyer National Juif. Le 29 mai 1947, l’Organisation des Nations Unies vota le partage de cette même Palestine mandataire entre un Etat Arabe et un Etat Juif. Selon ce plan de partage, l’essentiel de la Judée-Samarie aurait dû revenir à l’Etat Arabe, mais les états arabes rejetèrent ce plan.
Après la Guerre d’Indépendance l’émirat de Transjordanie annexa la Judée-Samarie et incorpora la région dans le «Royaume hachémite de Jordanie» au lieu de créer sur ces territoires l’Etat «palestinien» dont tout le monde parle aujourd’hui.
Cette annexion ne fut reconnue par aucun pays, sauf par la Grande Bretagne et le Pakistan. Ainsi, de 1949 à 1967, la Jordanie occupa illégalement la Judée-Samarie. L’appellation de «Cisjordanie» utilisée par de nombreux médias francophones date de cette époque. Ce terme date du temps où ces territoires étaient occupés par le Royaume hachémite de Jordanie et formaient la partie Occidentale du dit royaume.
En 1967, les pays arabes voisins désireux de détruire l’État juif lui imposèrent une guerre d’agression. Exerçant son droit de légitime défense, Israël prit le contrôle de ces territoires sans les annexer, laissant leur statut juridique faire l’objet de négociations dans le cadre d’un hypothétique accord de paix futur.
Du fait de l’impossibilité d’arriver à un accord de paix avec les Palestiniens depuis 1967, ces négociations n’ont pas abouti et le statut juridique de ces territoires n’est toujours pas réglé.

Géographie de la Judée-Samarie

La région a une superficie de 5 860 km². Elle a une longueur de 125 km et une largeur comprise entre 25 et 50 km. Elle abrite une population d’environ 2 500 000 personnes, en grande majorité palestiniennes. Elle est délimitée à l’est par le Jourdain et la Mer Morte, et par l’ancienne ligne verte de 1949 (la ligne d’armistice entre Israël et la Transjordanie après la Guerre d’Indépendance de 1948) au nord, au sud et à l’ouest. En comptant ceux qui sont installés dans les parties Nord et Est de Jérusalem, on trouve en Judée Samarie environ 600 000 résidents juifs répartis dans 4 villes (Ariel, Beitar Ilit, Maalei Adumim et Modiin Ilit) et 153 implantations.

Les Yishouvim de Judée-Samarie

Contrairement au Moshav ou au Kibboutz, ce modèle d’implantation rurale ne fonctionne pas sur la base d’une coopération économique. La coopération est d’ordre social. Les affaires de la communauté sont gérées collectivement par ses membres qui s’investissent aussi volontairement dans les activités communes (éducation, culture, activités des jeunes, etc.). L’objectif est de créer des communautés fortes avec une vie sociale attrayante pour palier à l’isolement et à la distance. De nombreuses communautés d’accueil ont pour volonté affichée d’encourager la Alya des juifs de France et ont accueilli les olim dans différents Yishouvim.

L’emploi en Judée-Samarie.

La majorité des habitants de Judée-Samarie vont travailler hors de la communauté.
Soit dans le Goush Dan, composé des villes de Tel Aviv, Givatayim, Bnei Brak, Or Yehuda, Kiryat Ono, Petah Tikva, Yehud, Ramla, Lod, Rishon LeZion, Ness Ziona, Ramat Gan, Bat Yam et Rehovot est qui constitue le centre économique du pays et l’une des plus fortes concentrations de start-up au monde, ce qui permet aux habitants de Judée Samarie de trouver un emploi dans les nombreuses entreprises qui y sont implantées.
Soit à Jérusalem où l’emploi est centré sur le tourisme et les entreprises publiques ou les sociétés High Tech comme Intel, Teva Pharmaceutical Industries, et ECI Telecom installées dans la zone industrielle Har Hatzvin. Parmi les principales productions de Jérusalem : fabriques de chaussures, textiles, pharmaceutiques, produit de métaux, et articles imprimés. Les usines sont situées principalement dans la zone industrielle d’Atarot au Nord de la ville. Jérusalem est à la pointe dans plusieurs domaines comme que la médecine, le tourisme, la biotechnologie et le high-tech.

Pour votre Alya vous avez prévu de  Déménager à Holon?

Vous êtes citoyen de retour et vous prévoyez votre déménagement pour Holon?

Touriste, vous avez acquis une résidence à Holon que vous voulez meubler ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement pour Holon se déroule de la meilleure façon possible.

Holon est une ville située dans la banlieue sud de Tel Aviv. Elle est intégrée dans l’agglomération du Gush Dan. La commune est limitrophe de Tel-Aviv-Jaffa, Rishon LeZion et Bat Yam. À l’heure actuelle, Holon compte près de 200 000 habitants mais selon les indications du maire il est prévu que population de la ville passe bientôt à 250 000 habitants.

Histoire

Le nom de Holon vient du mot hébreu khol qui signifie « sable », en raison de la nature des terrains sur lesquels la ville s’est implantée.
Ces terrains ont été achetés à partir des années 1930 par Shlomo Garin. Au cours de la décennie, cinq quartiers différents se sont développés de façon indépendante avant de s’unir en 1940 sous le nom de Holon.
Holon a été construite comme une ville industrielle par des immigrants venus de Lodz en Pologne. De nombreuses usines de Lodz étaient des fabriques de textile, et beaucoup appartenaient à des juifs polonais. Des plans ont été établis pour transférer certaines de ces usines en Palestine et c’est la région sud de Tel-Aviv qui a été choisie pour être le nouveau Lodz. Depuis, la zone qui l’entoure s’est considérablement développée et est devenue la plus grande zone industrielle en Israël après Haïfa.
Au cours de la Guerre d’indépendance, la cité fut une cible privilégiée pour les tirs arabes, implantés notamment sur la colline de Tel Arish.
Holon a été reconnue comme ville en 1950. C’est sous le long mandat du maire Pinchas Eylon (1953-1987), que la ville connut sa plus forte croissance avec le développement de nouveaux quartiers et de zones industrielles.

L’immobilier à Holon

Le marché immobilier à Holon est en assez bonne forme. Les prix sont plus élevés qu’à Bat Yam de 10 % à 15 % en moyenne, mais le sont moins qu’à Tel Aviv. Comme dans toutes les villes, les prix de l’immobilier varient selon les secteurs. Les quartiers les moins privilégiées de Holon sont Jessie Cohen et Tel Giborim. Les régions les plus cotées sont Agrobank, Het 300 et Het 500.

Holon : Ville verte.

Holon est une des villes les plus vertes d’Israël. 15 000 fleurs sont plantées dans la ville chaque année et plus de 6 500 arbres embellissent les avenues de la ville et ses rues. Les espaces verts occupent plus de 120 ha, surface qui va doubler dans l’avenir. Au cours des dernières années, les infrastructures de la ville ont été complètement rénovées, une attention particulière a été accordée à l’embellissement de la ville et à ses « poumons verts ».

Culture et loisirs à Holon

La vie culturelle et les loisirs sont considérés à Holon comme une composante importante de la qualité de vie que la ville propose à ses habitants et aux visiteurs. Chaque année, sur un budget global de 250 millions de dollars, elle en consacre 30 à 35 % à la culture et à l’éducation.

Les festivals annuels et les expositions qui sont organisées périodiquement à Holon attirent beaucoup de visiteurs de tout le pays.

Le développement de la culture, de l’art et des loisirs constitue une priorité de la ville qui propose des activités de théâtre, musique, danse et art plastique, musées uniques, galeries et centres culturels pour les enfants et les adultes, parmi lesquels le fameux Musée Israélien des Enfants.

L’éducation à Holon

Le système éducatif de Holon est financé par le Ministère de l’éducation, mais la municipalité dépense 100 millions de shekels de plus pour tenter de le rendre exceptionnel. 30000 élèves de 2 à 18 ans sont scolarisés dans la localité dans laquelle on trouve 285 jardins d’enfants, 30 écoles primaires, et 11 collèges et lycées. Tous les courants sont représentés : laïcs, religieux, orthodoxes, établissements sous et hors contrat.

L’emploi à Holon

En raison de sa zone industrielle, Holon affiche l’un des taux de chômage les plus bas au pays, qui s’élève à seulement 2,5 %. Et alors que les réseaux routiers à proximité des grandes villes sont souvent encombrés, un lieu de travail proche du domicile constitue un très gros avantage.
La localité va héberger le plus grand complexe Azrieli du pays, après celui de Tel Aviv, situé sur un terrain de 35 000 mètres carrés.

Ce complexe comprendra une zone construite de 160 000 m2, dont 12 000 m2 de centre commercial, et 6 000 m2 de supermarché. Les 142 000 m2 restants consisteront en 12 étages de bureaux et de locaux prévus pour accueillir des entreprises scientifiques.

Ce parc industriel deviendra un grand pôle à vocation scientifique avec des entreprises de biotechnologie, d’appareillages médicaux, de nanotechnologies, etc.

L’implantation de la ville dans le Goush Dan, à proximité des villes de Givatayim, Bnei Brak, Or Yehuda, Kiryat Ono, Petah Tikva, Yehud, Ramla, Lod, Rishon LeZion, Ness Ziona, Ramat Gan, et Rehovot est le centre économique du pays et l’une des plus fortes concentrations de start-up au monde, permet aux habitants de Holon de trouver un emploi dans les nombreuses entreprises qui y sont implantées. 40 % des emplois en finance et 25 % de l’emploi dans les services sont concentrés dans le Goush Dan, siège des deux plus grandes banques du pays : les banques Hapoalim et Leumi.

Pour votre Alya vous avez prévu de  Déménager à Bat Yam?

Vous êtes citoyen de retour et vous prévoyez votre déménagement pour Bat Yam?

Touriste, vous avez acquis une résidence à Bat Yam que vous voulez meubler ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement pour Bat Yam se déroule de la meilleure façon possible.

Bat Yam, la «sirène» en français, est appelée ainsi en raison de son emplacement en bord de mer. C’est une charmante ville placée à l’extrême sud de Tel Aviv. La localité possède une belle promenade, de ravissantes plages à perte de vue, mais aussi une vie culturelle et artistique très active.
Entre ses galeries d’art, ses musées d’art contemporain, ses festivals de rue et sa biennale d’urbanisme, Bat Yam propose des activités à tous. Elle offre une qualité de vie agréable et constitue un compromis idéal pour tous ceux qui veulent vivre à Tel Aviv sans l’anonymat de celle-ci et sans avoir besoin du budget exorbitant qu’exige la vie à Tel-Aviv.

Histoire de Bat Yam

EN 1926, 13 familles du groupe religieux «Baït Vagan» s’installent sur le terrain de l’actuelle Bat Yam. Ils baptisent la nouvelle localité au nom de leur groupe «Baït Vagan». Lors de la Révolte Arabe de 1929 la localité est le théâtre de violents affrontements avec les communautés arabes. Les résidents sont évacués par l’armée britannique. Les soldats anglais s’installent dans les foyers des habitants.
En 1932, les pionniers sont de retour à Baït Vagan. L’Immigration des juifs allemands conduit au développement de la localité, sa population augmente.
En 1936 Baït Vagan devient conseil local.
En mai, 1937, le conseil municipal décide de changer le nom de la ville en Bat Yam.
La guerre d’indépendance se transforme en guerre de positions à Bat Yam qui se traduit par des bombardements et des tirs de snipers. Dans l’espoir que les armées des pays arabes viendront leur prêter main forte, des arabes de la localité limitrophe de Jabaliya installent 70 positions et casemates à partir desquels des tireurs embusqués font feu sur les rues de Bat Yam. Les défenseurs de la ville construisent des barricades et chaque maison se protège à l’aide de sacs de sable. Certaines habitations, abandonnées par leurs habitants, se transforment en positions fortifiées.
La prise d’assaut de Jaffa par les forces juives, deux jours avant la déclaration d’indépendance de l’état d’Israël, provoque la fuite des arabes. Jabaliya tombe sans combat.
1948 coïncide avec l’accélération de son développement et l’arrivée de nouveaux immigrants. Dans les années 90, de nombreux ressortissants de l’ex-URSS choisissent de s’y installer en raison de son emplacement central et de ses belles plages.

La population de Bat Yam

Environ 130 000 habitants vivent à Bat Yam. La ville est classée 5 sur 10 selon les classements socio-économiques.

Les quartiers de Bat Yam

Ramat Yossef :

Placé au plus haut niveau de Bat Yam. Le quartier est bordé au nord par le quartier Amidar, au sud par le quartier de Ramat Hanassi, à l’est par l’autoroute Ayalon et à l’ouest par le quartier de Shikoun Amidar. Ramat Yossef est l’un des plus anciens de Bat Yam, la plupart des maisons ont été construites dans les années cinquante et soixante.

Ramat Hanassi :

Quartier relativement nouveau situé dans le sud-est de la ville.

Baït Vagan :

Quartier calme localisé dans le centre de Bat Yam.

Shikoun Amidar :

Situé à l’ouest de Bat Yam. On y trouve la Kikar Haméguinim, centre commercial et de transport de toute la ville de Bat Yam.

Kiryat Bobov :

Le quartier est nommé au nom de la brnche hassidique de Bobov, à laquelle appartiennent la plupart des habitants du quartier. Le quartier est connu pour l’immense feu de joie qui s’y élève chaque année à Lag Baomer. On trouve dans la quartier une synagogue, un Beit Midrash, un Talmud Torah, une Yeshiva Ktana et une Yeshiva Ghvoa installées dans le même bâtiment.

Oroth Hatora :

Communauté sioniste religieuse dirigée par le rav David Chai Hacohen. Parmi les organismes communautaires on trouve une synagogue, une Yeshiva Ghvoa  » Lentivot Israël » et un Talmud Torah « Orot « .

Les transports à Bat Yam

Bat Yam est située à 10 minutes de Tel Aviv, 15 minutes de l’aéroport Ben Gourion et 40 minutes de Jérusalem. Des routes locales desservent la ville de Bat Yam mais c’est l’autoroute Ayalon qui passe le long de la limite orientale de la localité qui constitue la voie principale qui relie la ville au reste du pays.

La ville compte 13 lignes Egged, qui font la liaison entre Bat Yam, Holon, Rishon Lezion et Jérusalem.
15 lignes, relativement fréquentes, de la compagnie Dan relient Bat Yam à Tel Aviv.
On trouve à Bat Yam deux gares ferroviaires : Bat Yam Komemiouth et Bat Yam Yosseftal.
Un tramway en projet reliera Bat Yam à Petah Tikva et Tel Aviv.

L’éducation à Bat Yam

L’éducation est l’une des priorités principales de la municipalité de Bat Yam. 20000 élèves sont scolarisés dans 40 établissements et 11 jardins d’enfants.
Les établissements scolaires sont répartis dans toute la ville et couvrent tous les secteurs: Laïc, religieux, orthodoxe, sous-contrat et hors-contrat.
L’augmentation constante des succès au baccalauréat (bien au-dessus de la moyenne nationale) et le bas pourcentage des élèves qui quittent le système scolaire sont la preuve de la qualité du système éducatif de la ville.
Trois écoles secondaires de Bat Yam figurent dans la liste des dix meilleures écoles secondaires du pays ce qui témoigne de l’excellence de l’éducation à Bat Yam.

Intégration à Bat Yam

La mairie propose une permanence dans le but d’aider les olim dans leurs démarches et répondre au mieux à leurs interrogations.

L’emploi à Bat Yam

L’implantation du quartier dans le Goush Dan, à proximité des villes de Or Yehuda, Kiryat Ono, Petah Tikva, Yehud, Ramla, Lod, Rishon LeZion, Ness Ziona, Holon, Ramat Gan, Givatayim, Bnei Brak, et Rehovot est le centre économique du pays et l’une des plus fortes concentrations de start-up au monde, permet aux habitants de Bat Yam de trouver un emploi dans les nombreuses entreprises qui y sont implantées. 40 % des emplois en finance et 25 % de l’emploi dans les services sont concentrés dans le Goush Dan, siège des deux plus grandes banques du pays : les banques Hapoalim et Leumi.

Vous Déménagez dans le Néguev ?

Toshav Hozer, vous revenez au pays et vous préparez votre déménagement pour le Néguev ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement dans le Néguev se passe au mieux.

Actuellement le Néguev est situé au centre de l’agenda israélien de développement du pays.

Dans le but de désengorger le littoral côtier, de nombreux programmes d’implantation de nouveaux immigrants, de développement économique et de reforestation ont été entrepris . À cet égard, une liaison ferroviaire a été inaugurée entre Tel Aviv et Beer-Sheva, la «capitale du désert», afin de faciliter le décloisonnement de cette portion du territoire. Le Néguev est également connu sur le plan international car il abrite les installations de la centrale nucléaire de Dimona, le cœur présumé du programme nucléaire militaire d’Israël, ainsi que le centre de lancement de Palmachim.

Le Ministère du Développement du Néguev, en coopération avec le Ministère de l’Intégration et de la Alya à lancé une campagne de promotion pour faire rentrer en Israël des citoyens qui ont émigré à l’étranger. Destination: le Néguev.

Des aides sont proposés aux familles afin qu’elles rentrent au pays et s’installent dans le Néguev: Réductions dans de multiples domaines comme la scolarité et les loisirs, participation de l’Etat au loyer, aides à la création d’entreprises.

Un énorme investissement gouvernemental de 137 millions de dollars, destiné à transférer les bases de formation de Tsahal du centre d’Israël vers un nouveau complexe de formation dans le Néguev a déjà été effectué.

Un demi-milliard de shekels sera investi dans le Néguev au cours des cinq prochaines années pour développer les établissements d’enseignement ainsi que les parcs industriels et high-tech, cela devrait faciliter les possibilités d’emploi pour les conjoints des militaires de carrière de Tsahal. Les résidents locaux bénéficieront du développement des constructions tel qu’il n’a pas été constaté vu dans le sud au cours des dernières années.

L’établissement d’un parc industriel à la jonction de Shoket et la création d’un centre de formation des travailleurs du bâtiment, permettra aux résidents du sud d’ aider à construire les grandes bases de l’armée qui seront déplacés dans la région.

Le plan précise que les villes de Beersheba, Ofakim, Dimona, Arad, Yerouham et Merhavim seront déclarés zones nationales prioritaires car proches du futur complexe de formation de Tsahal.

Vous Déménagez à Beer Sheva ?

Nouvel immigrant vous projetez de déménager à Beer Sheva?

Toshav Hozer, vous revenez au pays et vous préparez votre déménagement pour Beer Sheva ?

Dans tous ces cas de figures, vous voulez que votre déménagement pour Beer Sheva se passe le mieux possible.

Beer Sheva est la capitale du sud d’Israël. De par sa position géographique centrale et ses gares de cars et de trains, c’est une plate-forme importante pour les transports du pays. La ville s’est considérablement développée depuis la fondation de l’État d’Israël en 1948. De nos jours, la ville est majoritairement peuplée par des juifs ayant émigré des pays arabes, d’Éthiopie et de l’ex-Union soviétique.

Beer Sheva dans la Bible

La ville de Beer Sheva est évoquée dans la Genèse, le premier livre de la Bible. On y découvre l’origine du nom de Beer Sheva, le puits du serment : Ce puits d’eau appartenait à Abraham et les serviteurs d’Abimelech s’en étaient emparés. Une alliance fut conclue entre les deux hommes, symbolisée par le don de sept brebis. L’expression «De Dan à Beer Sheva» est parfois utilisée dans la Bible pour définir l’ensemble de la Terre d’Israël.

Histoire de Beer Sheva

Au début du XIXe siècle, Beer Sheva était décrite par les pèlerins européens comme une terre aride avec un puits et une poignée de Bédouins vivant autour.

Vers la fin du XIXe siècle, dans le but de garder les Bédouins sous contrôle, les Ottomans installèrent un poste de police dans l’agglomération. Ils construisent quelques petits bâtiments qui sont toujours debout de nos jours, des routes, une gare et une ligne ferroviaire vers Ashkelon et Gaza.

Beer Sheva a joué un rôle important lors de la campagne du Sinaï et de Palestine au cours de la Première Guerre mondiale. Le 31 octobre 1917, les Australiens mènent la charge sur les tranchées ottomanes et prennent possession des puits de Beer Sheva. Cet événement est souvent décrit comme la dernière charge de cavalerie victorieuse de l’Histoire.

Beer Sheva était un centre administratif majeur au cours du mandat britannique en Palestine.
Le Plan de partage de la Palestine de 1947 incluait Beer Sheva dans les territoires de l’État arabe, étant donné que la grande majorité des 4000 habitants était Arabes. L’armée égyptienne était implantée à Beer Sheva en 1948. Le 21 octobre 1948, au cours de l’Opération Yo’av, la cité a été libéré par une unité du Palmach.
Au cours des années 1950, Beer Sheva se développe vers le nord. L’hôpital Soroka ouvre ses portes en 1960, et l’Université du Néguev, renommée ultérieurement «Université Ben Gourion du Néguev», est créée en 1970. En 1973, c’est au tour du Théâtre de Beer Sheva.
Au cours des années 1990, un important afflux d’immigrants induit une importante augmentation de la population et de la taille de Beer Sheva.
Depuis 2005, la principale préoccupation a concerné le développement des parcs et des infrastructures. Un nouveau centre pour la jeunesse a ouvert en 2005, et un nouveau centre culturel est prévu pour 2007. Des quartiers de la Vieille Ville ont été réhabilités et, après des années de restrictions budgétaires, la municipalité a à nouveau présenté un budget équilibré.

Démographie de Beer Sheva

La ville, avec 210.000 âmes et un taux de croissance annuel de 2,9 %, est la 6ème du pays. Beer Sheva est, en fait, une métropole qui dessert 600.000 habitants résidant dans un rayon qui s’étend de Dimona au sud à Nétivoth au nord. Capitale administrative de toute la région sud, elle est également le point de passage obligé pour tous les citoyens habitant d’Eilat à Ashdod qui doivent se rendre au Bureau de recrutement de l’armée ou au Tribunal de Grande Instance, tous deux situés à Beer Sheva.
Forte d’une université de renommée internationale et d’une école d’ingénieurs, 35.000 étudiants provenant d’autres villes du pays, où ils sont toujours domiciliés, vivent en réalité à Beer Sheva et apportent un dynamisme qui attire toujours plus de jeunes vers cette ville.
L’armée israélienne, va rassembler plusieurs de ses bases dans le Néguev. La moitié des bases établies dans la région de Tel Aviv, vont déménager dans la région du Neguev, qui s’étend sur la moitié du pays, mais qui abrite moins de 10% de la population. Cet exode va concerner 30.000 soldats et officiers avec leurs familles ce qui devrait transformer durablement la région sur le plan démographique.

L’immobilier à Beer Sheva

On prévoit la construction de 35.000 logements, dont 9.000 habitations sociales que l’armée s’est engagée à construire le plus vert possible. Les installations, qui se déploieront sur 250.000 m2, ont été conçues de telle façon qu’elles seront pratiquement autosuffisantes, grâce à une isolation des bâtiments et à une énergie solaire disponible à profusion ce qui devrait permettre de réduire l’utilisation de l’air conditionné au minimum.

Les travaux de construction vont permettre de donner du travail à 20.000 ou 30.000 salariés, tandis que 2.000 à 2.500 autres emplois devraient être créés ensuite par les entreprises. Bref, l’aubaine est censée l’être pour tous…

L’emploi à Beer Sheva

Le point fort de Beer Sheva aujourd’hui est son potentiel en matière d’emploi. Un parc High-tech a été officiellement inauguré en septembre dernier par le premier ministre, M. Benyamin Natanyahou. Ce parc d’une surface de 35 hectares (!) a ouvert son premier bâtiment qui compte 20.000 m². Ce complexe est le fruit d’un financement commun de la société Gav-Yam Néguev, de la municipalité de Beer Sheva et de l’Université Ben Gourion.
Ce parc situé à proximité de la gare qui se trouve au nord de Beer Sheva, accueille dès à présent des sociétés high-tech comme Ness technologies, Deutsche Telecom (cybernétique), EMC (R&D), GVP (cybernétique) dont la maison mère se trouve à Jérusalem, Incubit (filiale d’Elbit), DB motion. Les sociétés françaises font également partie de cette perle de haute technologie puisque la société Gefen Dekel Technologies, présente à Beer Sheva depuis sa création, y a inauguré ses nouveaux bureaux.
Des dizaines d’entreprises, ainsi que des institutions publiques et universitaires, y seront réunies. Ce site abritera également une nouvelle École supérieure de la science et de la technologie, ainsi qu’un centre de développement spécialisé dans les «cyberétudes».
D’autres devraient suivre. IBM et Lockheed Martin ont ainsi annoncé leur intention d’ouvrir des centres de R&D dans ce parc technologique, qui emploiera à terme 10.000 salariés. Pour financer cette opération qui comprend la construction de logements, d’infrastructures, de routes, Citicorp et Morgan Stanley, deux banques d’affaires américaines, se sont déjà mises sur les rangs. L’enjeu est de taille : 9 milliards de dollars d’investissements.
Pour compléter le tableau de ce qui pourrait se transformer à terme en une nouvelle Silicon Valley, Beer Sheva va devenir la «cybercapitale» d’Israël, selon l’expression de Benjamin Netanyahu. Tous les moyens sont mis en œuvre pour y parvenir : l’ensemble du département des services de Renseignement de l’armée ainsi que celui du traitement des données vont être transférés dès 2015 à côté de ce parc, soit des milliers de nouveaux habitants de haut niveau.
Par ailleurs, une zone industrielle qui s’étend sur 500 hectares, Emek Sarah, a déjà suscité l’intérêt de plus de 35 entrepreneurs à ce jour. L’hôpital de Beer Shéva, Soroka, compte parmi les plus grands professeurs du pays et fait régulièrement la «une» des médias israéliens pour ses exploits dans différents domaines.
Enfin, une vingtaine de bases installées dans le centre du pays vont être évacuées. Dans un premier temps, l’aventure se matérialisera par l’ouverture d’une «mégabase» d’entraînement.

Éducation à Beer Sheva

Beer Sheva compte 99 établissements et accueille plus de 34 000 étudiants : 60 écoles élémentaires et 39 écoles supérieures. Il y a aussi plusieurs écoles privées et yeshivoth qui sont regroupées dans le quartier religieux.
Beer Sheva accueille une des principales universités d’Israël : l’Université Ben Gourion du Néguev et plusieurs grandes écoles, parmi lesquelles le Practical Engineering College of Beersheba, le Kaye Academic College of Education et le Sami Shamoon Academic College of Engineering.
L’Université Ben Gourion est la seule du pays a proposer désormais une maîtrise en cybernétique. Cette démarche est d’ailleurs particulièrement bien pensée puisque la municipalité se charge de repérer les futurs cerveaux, dès le lycée, où une filière cybernétique a été créée puis, ensuite, de maintenir sur place ces lycéens devenus entre temps de jeunes recrues au sein de l’armée dans le complexe, où se trouveront les départements des Renseignements et des communications et, enfin, à l’issue de leur service militaire, de leur proposer un emploi bien rémunéré dans le parc High Tech.
Rien d’étonnant dans ces conditions que Beer Sheva attire de plus en plus de jeunes couples très qualifiés qui souhaitent profiter de salaires élevés tout en ayant la possibilité de pouvoir acquérir un logement neuf, avec de très belles prestations à des prix raisonnables bien moins élevés que ceux du centre du pays. Il ne fait aucun doute que, comme le dit si bien le nouveau slogan de la mairie, Beer Sheva s’impose vraiment désormais comme «la ville des opportunités» !

Vous Déménagez dans le Golan ?

Toshav Hozer, vous revenez au pays et vous préparez votre déménagement pour le Golan ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement pour le Golan se passe au mieux.

L’économie du Golan est axée sur l’agriculture. La région est particulièrement réputée pour ses pommes, son eau de source et son vin primé internationalement. Un tiers de la production vinicole israélienne provient de cette région. Le meilleur cru est le domaine de Bashan, qui fait un vin totalement «biologique». La production d’huile d’olive est également très réputée. C’est également une vieille région d’élevage puisque 40 % de la viande consommée en Israël en provient.

Situé à proximité de Tibériade Safed et Carmiel, le Golan représente un lieu d’intégration privilégié.
Si Natanya, Raanana et Ashdod restent prioritaire dans le cœur de ceux qui espèrent faire leur alya en Israël, il existe aussi des terres moins connues qui représentent cependant de véritables opportunités pour les olims. Parmi elles, le Golan, vaste région située dans le nord du pays.

Les beaux paysages, les grands espaces et essentiellement les communautés chaleureuses et hospitalières font du Golan une destination de plus en plus recherchée. Ces dernières années des centaines de familles en provenance de toutes les communautés juives du monde se sont installées dans le Golan, séduites par la qualité de l’accueil qui leur est offerte.

L’Agence Juive, désireuse de faire connaître le magnifique potentiel du Golan, a mis en place une série d’avantages destinés à encourager l’alya de groupe dans deux communautés particulièrement adaptées aux attentes des juifs de France

  • Allocation de fonds et conseils à la création d’entreprises
  • Allocation de terrains à construire
  • Prêts bancaires à taux préférentiels
  • Subventions de 100% sur les impôts locaux pendant la première année d’installation
  • Subventions de 50% sur toutes les activités du centre communautaire)

Fondé en 1977, Hispin est le centre régional des communautés religieuses du Golan. 175 familles (qui comptent 600 enfants) y vivent, bénéficiant de la qualité de vie exceptionnelle qu’offre l’environnement rural et de la grande variété d’emplois propre à cette région: agriculture, industrie, commerce et tourisme. A ce propos, il faut noter que le Golan possède le plus bas taux de chômage du pays…

Hispin possède toutes les infrastructures et les services d’un centre régional : centre médical, cabinet dentaire, supermarché, centre communautaire, piscine, auberge de jeunesse et structures éducatives de qualités depuis le jardin d’enfant jusqu’à la terminale en passant par de nombreuses activités culturelles.

Concernant le logement, les prix extrêmement attrayants à l’achat et à la location représentent un atout essentiel pour les olims. Oulpan, conseil à l’emploi et accompagnement personnalisé des olims par une équipe francophone complètent les attraits de cette petite communauté attachante.

Sur le même modèle et non loin de Hispin, se trouve Keshet, fondé en 1974, et qui constitue une communauté de 90 familles religieuses s’inspirant de l’enseignement du Rav Avraham HaCohen Kook. Keshet est le siège d’une Auberge de Jeunesse et d’une académie préparatoire au service militaire. Là encore les prix de l’immobilier sont particulièrement attractifs.

tel avivLa texture urbaine de Tel Aviv est faite d’un agencement de quelque 4000 édifices construits entre 1931 et 1948 dans le premier style international, et de quelque 300 édifices construits entre 1948 et 1960 dans le style moderne d’après-guerre. Ces édifices sont concentrés principalement dans le cœur de la ville historique, qui constitue aussi le centre-ville de la métropole actuelle.

La partie centrale et la partie nord de la ville historique de Tel Aviv ont été construites selon le plan de Sir Patrick Geddes. Le célèbre urbaniste écossais en a reçu la commande en 1925 du maire de Tel Aviv, Meir Dizengoff. Les principes du plan proposé ont été adoptés en 1927 et ils sont entrés en vigueur en 1938. Le plan, exécuté avec des changements mineurs, est le seul projet réalisé de l’urbaniste.

Reconnaissance mondiale

En 2003, la «ville blanche de Tel Aviv» a été déclarée patrimoine mondial par l’UNESCO. Les raisons de cette déclaration reposent sur les attendus suivants:

  • Placé au centre de la métropole, ce site jouit d’une visibilité maximale alors que, dans d’autres pays, les ensembles urbains de style international sont situés à la périphérie. Plus difficiles d’accès, ils sont donc connus de manière plus confidentielle.
  • Le site présente la plus grande concentration d’édifices de style international du monde.
  • Son étendue est importante et son style homogène.
  • La ville est un carrefour des tendances du mouvement moderne. Les architectes qui ont immigré en Israël et ceux qui sont partis d’Israël pour se former en Europe ont reçu l’enseignement des diverses avant-gardes européennes. Certains d’entre eux ont fait leur apprentissage dans les agences phares du mouvement moderne. Réexaminant le savoir, les idées et les principes importés d’ailleurs à la lumière de la culture et du climat locaux, ces architectes ont dégagé une synthèse génératrice de formes nouvelles qui a créé un langage architectural d’une richesse et d’une diversité inégalées par d’autres ensembles modernes à travers le monde.
  • Du point de vue de l’histoire de l’architecture au XXe siècle, la conjugaison du plan moderne de Geddes et de l’architecture moderne accentue le caractère moderne de Tel Aviv et son intégrité.

Europe et Moyen-Orient

Les origines de l’architecture moderne à Tel Aviv remontent à la fin des années 1920.

La crise économique que le pays traverse de 1926 à 1928, crise qui met fin à l’immigration et au boom de la construction et installe le chômage dans les métiers du bâtiment, incite les jeunes faisant partie de la troisième et de la quatrième vague d’immigration à poursuivre des études en Europe. Ils étudient au Bauhaus en Allemagne, aux instituts de Gand et de Bruxelles en Belgique, à Paris et à Caen en France où ils subissent l’influence des idées de Le Corbusier, à Vienne en Autriche, ainsi qu’aux universités de Rome, Venise et Naples en Italie.

Certains d’entre eux restent travailler dans les bureaux de Erich Mendelsohn et de Hannes Meyer à Berlin ou dans celui de Le Corbusier à Paris.

Revenant au pays au début des années 1930 imprégnés de l’idée que l’architecture peut agir sur l’ordre social, ils aspirent à la création d’un monde nouveau dans lequel naîtra une société libre, laïque et socialiste. Les principes du Mouvement moderne, porte-étendard d’une architecture simple et dépouillée, leur apportent la solution qui correspond aux besoins de la communauté juive d’Israël: construire rapidement et à bon prix des habitations pour une société naissante.

Le modernisme devient donc la norme selon laquelle est transformée l’allure de la ville nouvelle émergée des dunes le long de la côte méditerranéenne.

Solutions locales

La diversité des formations des architectes est un des principaux facteurs contribuant à la richesse du langage architectural local, richesse qui provient de la fusion d’inspirations de sources diverses avec des éléments appartenant à la tradition moyen-orientale de la maçonnerie et de solutions simples aux impératifs climatiques. Ainsi, les grandes surfaces vitrées du modernisme européen, qui ne permettent pas de contrôler la forte lumière et l’oppressante chaleur, disparaissent lors du déménagement à Tel Aviv, ne laissant qu’une petite trace dans la fenestration (en forme de thermomètre) des cages d’escalier.

Les longues fenêtres en bande sont remplacées par de longs balcons en retrait munis de dispositifs d’ombre tels que des auvents et des garde-corps de béton, des fentes de ventilation, etc. Des solutions sont aussi empruntées à la tradition moyenne-orientale et méditerranéenne: cours, ouvertures zénithales de ventilation circulaires ou rectangulaires, arcades et moucharabiehs (portions de murs ou balustrades ajourés permettant de ventiler les espaces situés derrière eux et de regarder au dehors tout en assurant l’intimité).

L’adaptation des influences européennes aux conditions climatiques locales et à la tradition du travail de la maçonnerie a créé un riche langage vernaculaire qui s’exprime par un relief accidenté des volumes obtenu au moyen d’avancées et de retraits par rapport à l’aplomb du mur ainsi que par le dialogue ludique des balcons aux formes multiples. La forte tridimensionnalité, les qualités expressives de la ligne courbe ainsi que la coulée des lignes horizontales donnent lieu à un jeu d’ombre et de lumière qui est un des traits distinctifs de l’architecture de Tel Aviv.

L’utilisation du plâtre blanc et lisse accentue la beauté des édifices qui se dressent au soleil, d’où le nom de «ville blanche» qui renvoie à une architecture pure, nette, propre et libre de faux ornements.

Une ville renaît

Dans les années 1960, la ville blanche commence à se délabrer. Le manque d’entretien et la course pour fermer les balcons provoquent un vieillissement et un enlaidissement accélérés du centre-ville. Les jeunes l’abandonnent vite pour déménager dans les banlieues. Au début des années 1980, un petit groupe de personnalités du monde de la culture commence à attirer l’attention du public sur l’importance de cet héritage architectural.

Déménagement à TibériadePour votre Alyah, vous projetez de déménager à Tibériade?

Votre retour au pays est prévu pour bientôt et, Toshav Hozer, vous préparez votre déménagement pour Tibériade?

Vous avez acquis une résidence à Tibériade et souhaitez la meubler ?

Dans tous ces cas de figures, une seule chose vous préoccupe : Que votre déménagement pour Tibériade se passe au mieux.

Tibériade figure parmi les quatre villes sacrées du judaïsme : connue pour la sainteté des nombreuses sépultures de grands Rabbins, c’est une ville de pèlerinage importante pour beaucoup de juifs. Bâtie sur la rive ouest du lac de Tibériade, c’est aujourd’hui une station balnéaire de 40 000 habitants, réputée pour ses sources chaudes et à effets thérapeutiques.

Construite en 21 après J.-C. par Hérode Antipas un des fils d’Hérode le Grand, la ville doit son nom à l’Empereur Tibère. Après la destruction du Temple de Jérusaleme, le foyer de la vie spirituelle juive se transporte vers le nord et Tibériade devient la capitale d’Israël et le centre des études Rabbinique.

Emplacement de Tibériade

Tibériade propose aux touristes des divertissements, une belle promenade bordant le lac, un parc archéologique, de nombreuses chambres d’hôtel, des restaurants de poissons et des bateaux de croisière…

L’un des principaux atouts de Tibériade est son emplacement géographique qui lui offre de nombreux avantages : Abondance d’eau et de verdure, stations thermales et bains minéraux naturels.

Tibériade est aussi un grand centre religieux : il s’y trouve de nombreuses sépultures d’importants Rabbins tels que Rabbi Akiva, Maimonide, Rabbi Meir Ba’al Ness, et Rabbi Moshé Chaïm Luzzato.

Education à Tibériade

La ville de Tibériade possède un système éducatif complet prenant en charge la scolarité des enfants dès l’age de trois mois et proposant des activités extrascolaires variées. La ville compte 45 jardins d’enfants, 19 écoles primaires, 13collèges et lycées, une oulpena pour jeunes filles religieuses (qui a déjà reçu un prix éducatif) et une Yeshiva, connue pour son excellent niveau. Dans les jardins d’enfants, des journées plus longues sont proposées pour les enfants dont les parents n’ont pas la possibilité de venir les chercher plus tôt.

Culture et services à Tibériade

En tant que centre commercial, médical et culturel de la région, Tibériade fournit les nombreuses communautés rurales et petites villes voisines.

L’hôpital de Poriah, qui offre des équipements médicaux modernes, est connu pour la qualité de sa salle d’accouchement et de son département pour enfants. Toutes les grandes banques, les chaînes de magasins, les bureaux administratifs municipaux, les fonds de santé et les équipements de santé sont disponibles à Tibériade et lui confère un rôle central dans la région. La ville de Tibériade est déjà connues pour les nombreuses compétitions qu’elle organise : la course et le tri marathon annuels autour des rivages du lacs qui attirent des milliers de participants du monde entier, la compétition de natation à travers le lac, les concours de canotage et de ski nautique

Le centre culturel de Yad Shitrit, au centre de la ville, dispose d’une salle de théâtre de 840 places qui sert aux nombreuses conventions nationales et internationales tenues à Tibériade.

De nombreuses festivités et activités animent la ville : les foires de rue, les festivals d’été, les groupes de théâtre, les équipes de sports locales…

Logement à Tibériade

La ville de Tibériade offre un certain nombre d’options de logement, tant à la location qu’à l’achat. Les prix à la location sont de $350 pour un appartement de deux pièces, de $400 pour trois pièces et de $450 pour un appartement de quatre pièces.

L’achat d’une petite maison, en duplex, avec un jardin coûte environ $150.000.

Emploi à Tibériade

Les opportunités d’emploi à Tibériade sont variées et incluent les prestations de santé.

L’industrie du tourisme est une source importante d’emploi à Tibériade : hôtellerie, guide d’excursion, prestataire de service dans les domaines des loisirs et du sport…

Il existe des possibilités de travail dans le secteur industriel, dans la production et dans la technologie de pointe ; ainsi que dans le commerce, l’éducation et la culture.

La ville de Tibériade encourage la création d’entreprises : un centre actif offre son assistance pour aider le développement de nouveaux commerces.

A l’occasion de votre Alyah vous envisagez de déménager à Ramat Aviv ?

Votre retour au pays est imminent et, Toshav Hozer, vous préparez votre déménagement à Ramat Aviv ?

Dans tous ces cas de figures, vous désirez que votre déménagement pour Ramat Aviv se déroule le mieux possible.

Ramat Aviv (la colline du printemps) regroupe un certain nombre de quartiers au nord-est de Tel-Aviv, au nord de la rivière Yarkon.

On trouve à la périphérie de Ramat Aviv, l’Université de Tel Aviv, le Musée de la Terre d’Israël, le Musée de la Diaspora, la station électrique Reading, quelques studios d’art, l’aéroport de Sde Dov pour les vols intérieurs, les studios de la Télévision éducative et le Parc du Yarkon.

Le quartier a été créé dans les années 50 après la grande migration des immigrants d’Europe de l’Est. Au fil des ans, Ramat Aviv a continué à se développer vers le nord, y compris autour de l’Université de Tel Aviv, le musée d’Eretz Israël, Le centre Yitzhak Rabin, Le musée du Palmach, le musée de la Diaspora et les studios de la Télévision éducative.

Ramat Aviv est adjacent au quartier Sde Dov et au Parc Yarkon.

Ramat Aviv Alef (la «Ramat Aviv verte») a été fondée dans les années 50 dans le style des «Shikounim» (logement populaire) qui s’est ensuite répandu dans tout le pays. Haim Levanon, maire de Tel Aviv de l’époque, avait prévu que seuls des pavillons soient construits dans le quartier mais Golda Meir, ministre du Travail a encouragé la construction de logements. La plupart des bâtiments ont été créés à la fin des années 60. On trouve aujourd’hui dans le quartier des maisons privatives ainsi que des immeubles de quatre étages baignant dans de nombreux espaces verts.

3 écoles sont implantées dans Ramat Aviv Alef qui abrite environ 8500 personnes. Un quart d’entre eux ont plus de 65 ans et seulement 12,6% sont âgés de moins de 14 ans.

Ramat Aviv Bet, (appelé aussi Nevéh Avivim) est situé au nord de Ramat Aviv Alef. Sa construction a débuté dans les années 60 et s’est accélérée dans les années 70. Ramat Aviv Bet est articulé autour de quatre rues principales : Yehudah Hanassi, Rav Ashi, Tagor et Oppenheimer. Cet espace comprend un grand jardin municipal, des centres commerciaux, des institutions éducatives et religieuses, et un centre sportif avec piscine, pelouses et terrains de sport.

La construction de Ramat Aviv Guimel a commencé dans les années 70 au nord de Ramat Aviv Bet. Le quartier s’est développé dans les années 80 et 90 et est devenu un quartier prestigieux. Le quartier est réparti en approximativement 4500 logements. Le quartier compte plus de 12 000 personnes, dont 7% au-dessus de 65 ans, et plus de 24% sous l’âge de 14 ans.

La nouvelle Ramat Aviv a débuté en 1996. Elle se trouve en plein processus de construction et d’occupation. Tout le potentiel du terrain n’a pas encore été exploité. On trouve essentiellement des immeubles d’habitation dans le quartier.

L’emploi à Ramat Aviv:

Nul doute que l’implantation du quartier dans le Goush Dan, qui a proximité des villes de Bat Yam, Holon, Ramat Gan, Givatayim, Bnei Brak, Or Yehuda, Kiryat Ono, Petah Tikva, Yehud, Ramla, Lod, Rishon LeZion, Ness Ziona et Rehovot est le centre économique du pays et l’une des plus fortes concentrations de start-up au monde, permet aux habitants de Ramat Aviv de trouver un emploi dans les nombreuses entreprises qui y sont implantées. 40 % des emplois en finance et 25 % de l’emploi dans les services sont concentrés dans le Goush Dan, siège des deux plus grandes banques du pays : les banques Leumi et Hapoalim.